Le problème avec un blog public, et c'est la première fois que ça m'arrive ,de blogger ouvertement, c'est la sacro-censure. On fait quoi avec ça ? En sachant que Hochelanuit est public, well, on est fucking quatre auteurs, le contraire serait étonnant, il me semble que je modère un peu mes ardeurs.
D'un autre côté, mon blog «secret» (mouhaha) est connu de la moitié de mon entourage.
J'en arrive au point où, en bloggant ce que j'ai envie de blogger en ce moment, il se pourrait que le principal intéressé le lise, ce post-ci et, avouons-le, peut-être les autres posts qui risquent de surgir à son sujet au fil de mes nuits à Hochelaga. Ce principal intéressé peut prendre plusieurs identités, remarquez. Présentement je pense à l'Ex-Minou, mais well, ça peut s'appliquer à pleins de choses.
Enfin.
Je radote en crisse.
HOCHELAGA, LA NUIT. Au détour d'une ruelle, le bruit de la nuit. Dans un petit appartement, la vie bien au fond du coeur, on écrit.
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